Musique
Zal Idrissa Sissokho
Blacksheep
De la lignée des Sissokho, ces hommes qui transmettent, depuis la nuit des temps, l’histoire du peuple mandingue, Zal Idrissa Sissokho a reçu de son père l’héritage de la tradition orale et musicale. En plus de chanter, le jeune compositeur sénégalais joue de la kora, harpe africaine à 21 cordes, et de la Thioug, gros tambour basse. Émane de ses spectacles, où cohabitent audace, tradition et modernité, une énergie hors du commun.
Zal Idrissa Sissokho
Zal Idrissa Sissokho est né à Dakar au Sénégal dans une famille de griot (caste) : des musiciens conteurs et chanteurs généalogistes responsables de la tradition orale. Dès sa tendre enfance, il a été initié à la kora, une harpe traditionnelle africaine à 21 cordes, dont l'apprentissage se transmet de père en fils. Il a perfectionné son art auprès de Toumany Kouyaté, un des virtuoses de la kora.
Zal Idrissa joue de la kora, du Thioug, un gros tambour basse sénégalais, compose la plupart des pièces du groupe Buntalo et chante en mandingue et wolof. Il a travaillé avec de nombreux artistes au Québec, dont Takadja, les frères Diouf, Richard Séguin, Lilison, IKS, Hart Rouge, Muna Mingolé et Alpha Yaya Diallo. Il a également collaboré à une dizaine d’albums d’artistes de différents genres, dont Monica Freire, Corneille et le Montreal Jubilation Gospel Choir. En décembre 2005, il a même travaillé au spectacle « O » du Cirque du Soleil, à Las Vegas. Il a également participé à de nombreuses tournées en Afrique.
Billets et offres spéciales
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