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Scène Québec

du 20 avril au 5 mai 2007

En vente maintenant

Musique

Rencontres en Chansons d'À Propos

Centre national des Arts, Quatrième Salle

Une coprésentation de la Scène Québec et de CBC Radio One
Animé en anglais.

Jim Corcoran [photo: Tshi]

Jim Corcoran

Jim Corcoran est connu d’amateurs de musique partout au Canada en tant qu’animateur (depuis 1988) de la série À propos, diffusée le samedi soir sur les ondes de CBC Radio. La série est consacrée à la musique populaire et actuelle de la francophonie, tant au Québec qu’à l’étranger. Auteur-compositeur-interprète chevronné, Jim s’est produit partout au monde et compte à son actif une douzaine d’albums.

Jim Corcoran est révélé au public dans les années 70 alors qu'il est du duo Jim et Bertrand, ce tandem qui nous a légué de nombreux succès. Jim Corcoran poursuit une carrière solo depuis 1981, l’année de la sortie de l'album Têtu (gagnat du prix Félix du meilleur album folk). En 1983, il lance l'album Plaisirs qui est très bien reçu à son tour. La carrière de Jim Corcoran connaît toutefois une véritable ascension au milieu des années 80.

En 1990, Jim lance Corcoran, un album où il flirte avec la langue et s'adonne à d'audacieux exercices de style. Il emprunte, par exemple, 76 verbes pour C'est pour ça que je t'aime et Je me tutoie dure 47 secondes.

Avec la parution, au printemps 1996, de son sixième album solo intitulé Portraits, Jim Corcoran confirme sa place au rang des auteurs-compositeurs importants de la scène québécoise.

À l’automne 2000, il lance Entre tout et moi. Ce septième disque solo est à la fois rigoureux, profond et rafraîchissant. Jim Corcoran plonge dans les dédales de la vie et de l’amour avec un style incisif.

Après avoir effectué une tournée en compagnie du chanteur français Mathieu Chédid, il revient au Québec avec un nouveau spectacle et souligne ainsi ses 30 ans de carrière. Son dernier album, Pages blanches, paraît en 2005.

Source : Radio-Canada Espace Musique, www.radio-Canada.ca/radio2

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Mario Peluso

Il a le teint de ceux qui passent l’hiver au soleil qui lui vient de ses origines italo-métis du Témiscamingue, le regard pénétrant, une tignasse noire de jais qui contraste avec la blancheur du sourire. Indéniablement beau gosse, éternel jeune homme, il affiche la dégaine du koboye urbain avec sa guitare en bandoulière et ses bottes western. Son répertoire lui ressemble; il navigue entre les voyages de pêche de sa contrée sauvage et les émanations du bitume à l’angle de St-Timothée et Ontario.

Mélodiste talentueux, on le connaît pour ses collaborations avec Isabelle Boulay (La Lune, J’ai mal à l’amour), Laurence Jalbert (Je m’ennuie de chez-nous) et Véronic DiCaire (La neige nue). Ses mélodies folk ont l’heur de plaire. À preuve, les prix qu’il remporte : le prix de la Chanson de l’année pour Je t’appelle au concours Ma première Place des Arts en 1997 dont il signe la musique, puis le prix Québec / Wallonie-Bruxelles deux ans plus tard.

Son album Minuit –5 est son cinquième depuis son installation à Montréal au début des années 90. « Quand je suis arrivé en ville, confie-t-il, j’allais me pratiquer dans le métro, car j’occupais un logement aux murs en carton. » C’est son premier contact avec le public, une réalité qui a contribué à garder intacte son authenticité. Il gravit les échelons un à un, écumant le métro, puis les petites salles, et enfin le circuit des grandes salles, du Spectrum au Théâtre du Cuivre de Rouyn. Il ira jusqu’en France où ses chansons séduisent un public friand de grands espaces et de folk nord-américain.

Mario Peluso sait aussi s’entourer. En témoignent ses collaborations fructueuses avec les paroliers Christian Mistral, Cébastien et, plus récemment, avec François Vigneault, fils de Gilles et frère de Guillaume. Dès ses débuts, il repère les professionnels qui sauront donner les couleurs justes à son répertoire ; feu Gaston Mandeville et Michel Pépin (qui a collaboré avec Jean Leloup) l’initient aux rudiments de la réalisation. Leur apport contribuera grandement à forger ce son unique qui évoque le bois, l’eau, le feu, la terre et la poussière où se consument les émotions des hommes.

Mario Peluso compte à son actif cinq albums : Malgré tout (1998), Mario Peluso (2000), Au Café des écorchés (2002), One Beautiful Day (2004) et Minuit -5 (2006).

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Michel Rivard

Fils du comédien Robert Rivard, « l'homme orchestre », auteur, compositeur, chanteur, interprète, guitariste, comédien et monologuiste Michel Rivard est né en 1951. Très tôt, il s'intéresse à la musique et au théâtre. Dans les années 60, il joue notamment dans des séries télévisées, comme Rue des pignons, et dans des publicités.

En 1970, il fait partie, comme compositeur, réalisateur, comédien ou chanteur, de différentes formations: la troupe de vaudeville subversif, La Quenouille bleue, le Théâtre Sainfouin, le Théâtre populaire du Québec et la troupe Les Pichous. C'est aussi au début des années 70 que se forme Beau Dommage dont il est l'un des membres fondateurs. Il sera l'un des auteurs, compositeurs, interprètes et guitaristes de cette formation jusqu'en 1978, année de leur séparation. En 1977, Michel Rivard commence sa carrière en solo. La même année, à Paris il fait la première partie du spectacle du chanteur Maxime Leforestier avec son premier album, Méfiez-vous du grand amour.

C'est le début d'une longue carrière où il sera accompagné pendant plusieurs années par les musiciens Rick Haworth et Mario Légaré, qui ont formé le Flybin Band. Il lancera plusieurs albums après Beau Dommage et développera son côté humoristique, lors de ses spectacles. Il sera primé à maintes reprises au Gala de l'ADISQ en remportant, entre autres, le Félix du scripteur de spectacle de l'année en 1980; le Félix du meilleur vidéoclip pour la chanson Rumeur sur la ville, en 1985; le Félix de l'auteur-compositeur de l'année et album pop de l'année, en 1987; le Félix du spectacle et de l'interprète de l'année. L'Académie Charles Cros lui remet, à son tour, le Grand Prix international du disque en 1988. À l'automne 2004, c'est la consécration. Au Gala de l'ADISQ, on lui décerne le Félix hommage pour souligner ses 30 ans de carrière.

Au cours de ces années, il y aura eu aussi la reconstitution de Beau Dommage d'abord en 1984, lors de deux spectacles, et en 1994, pour un album et une tournée québécoise dont il fera partie. Michel Rivard, l'artiste multidisciplinaire a trouvé également le temps de composer des chansons pour d'autres artistes dont Gerry Boulet, Pauline Julien, Maxime Leforestier, Marie-Michèle Desrosiers.

Source : Radio-Canada Espace Musique, www.radio-Canada.ca/radio2

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Monica Freire

Bahiatronica, le titre du dernier album de Monica Freire est la fusion de deux termes, Bahia et électronica. Cet hybride révèle le parcours musical de l’artiste brésilienne établie au Québec depuis les années 90.

Monica Freire est née à Itabuna, dans la région de Bahia, le berceau de pionniers du rythme chaloupé tels que Caetano Veloso et Gilberto Gil. Là-bas, ses racines africaines, syro-libanaises, portugaises et indigènes ont puisé dans un terreau fertile, berceau de la séduisante musique afro-brésilienne.

Monica Freire est parachutée dès son jeune âge dans le show-business brésilien. La jeune femme n’a que 17 ans lorsqu’elle atteint le firmament de la pop de son pays. Elle s’associe à la formation Bloco Pinel et remplace la célèbre chanteuse locale Daniela Mercury. Ce succès instantané ne la retiendra pas longtemps chez elle. Elle quitte son pays à l’âge de 18 ans et part en voyage. Les Antilles, la France, puis Montréal lui servent de ports d’attache. Monica Freire profite de ce périple pour parfaire sa technique musicale.

Quand elle arrive dans la métropole québécoise, Monica reprend contact avec la scène et se joint au groupe de Paulo Ramos, un autre exilé brésilien. Toutefois, l’appel du voyage reprend vite le dessus. En 1996, elle met le cap sur l’Extrême-Orient. Elle s’installe au Japon où, surprise, le succès la rattrape. Elle fait paraître deux albums, ses deux premiers en solo, Monica et Monica II qui lui permettent de prendre part à des tournées en terre nippone.

Septembre 2005, Monica Freire lance Bahiatronica, un album de mixité entre sonorités organique et électronique, qu’elle a réalisé en compagnie de son compagnon de vie, le musicien Dan Gigon. Les deux musiciens se sont rencontrés lorsqu’ils faisaient partie de l’ensemble de Paulo Ramos. La samba et la bossa-nova qu’elle a ramenées de son coin de pays obtiennent un traitement électronique avec une subtilité qui ne masque pas l’origine véritable de ces sons traditionnels. La chanson Ma petite guerrière de Pierre Flynn prend une couleur brésilienne, et Les eaux de Mars de Jobim traduite par Moustaki renaît sous une forme inattendue.

Source : Radio-Canada Espace Musique, www.radio-Canada.ca/radio2

site Web : Radio-Canada Espace Musique

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Urbain Desbois

Urbain Desbois est apparu un soir d’avril 1993 sur la scène du Cheval Blanc, à Montréal. Personnage singulier, poète bref doublé d’un musicien inventif, il est vite dépassé par son propre phénomène. Las de copier des cassettes autoproduites, il se remet bientôt entre les mains de la Tribu qui produiront entre 2000 et 2003 non moins de trois albums : Ma maison travaille plus que moi, États d’âne et Entomologie. Les critiques saluent chaque fois la finesse des textes et accueillent l’artiste dans la grande famille des auteurs-compositeurs-interprètes avec digne mention.

Propulsé en commando pour chauffer les salles des vedettes de l’heure (Thomas Fersen, Arno, Renaud), il saisit si bien le public, décoiffé par l’aisance de ce verbomoteur électrique, qu’il se retrouve rapidement en tête d’affiche. Après avoir sillonné les routes du Québec en spectacle et donné dans quelques projets parallèles (musiques de film, ligue d’improvisation musicale, théâtre) c’est au printemps 2007, chez Audiogram, qu’Urbain Desbois refait le coup du nouvel album.

Longuement mûri, ce quatrième disque est de loin le plus achevé. Réalisé par Jean-François Lemieux, enregistré par Pierre Girard au Studio Parleur, La gravité me pèse explore résolument de nouveaux territoires. Les textes s’allongent et passent de la brièveté du haïku au motif classique refrain/couplet; les musiques se raffinent, les arrangements se complexifient, les nouvelles chansons se fredonnent sans fin ... Desbois ira-t-il jusqu’à nous faire danser?

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Billets et offres spéciales

Prix: 20 $

Achat de billets :
Billetterie du CNA
Ticketmaster : 613.755.1111
En ligne : www.scenequebec.ca

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Centre national des Arts